Le seul truc que j'ai réussi à pondre en deux mois

^^ Le seul truc que j'ai écrit en deux mois... grande période de solitude et de tristesse.

Je crois avoir essayé d'écrire un essai foireux. Ca c'est terminé en ché pas trop quoi XD

Voilà... ^^

J'ai toujours eu un sentiment hostile envers l'amour. Aujourd'hui, je me dis que c'est une sacrée idiotie qui fait procréer, bien sûr je sais que c'est faux. Quel personne en âge d'aimer n'a jamais haït l'amour ? Sérieusement ?
Quand j'étais petite, avec tout les choses qu'on nous a rabâché sur l'amour et tout ses mariage au quel je tenais la traine, je croyais que c'était simple... bon ne nous attardons pas sur mes pensées enfantines. L'amour n'est pas simple. Je rigole déjà en écoutant certains jeunes couples croyant encore que l'amour est facile.
Bon, c'est clair, je n'ai que 13 ans, beaucoup de béguins à mon actif, zéro petit ami, qu'une demande sérieuse que j'ai décliné. Et je dois... un baiser à un foutu con ! Ça à commencé par une question : « M'autoriseras-tu, un jour, à poser mes lèvres contre les tiennes ? »
J'ai fini par dire un oui très pesant après une conversation avec monsieur sur ses sentiments, bien sûr il n'a presque rien craché... le poussin jaune... Et j'ai du lui confirmé deux trois fois que je lui devais bien un baiser...
C'est bizarre, par ce que je ne crois pas trop à l'amour, surtout sur le net, et encore moins les amours de jeunes. Enfin c'est moi la jeunette dans l'histoire...
Bref, je divague ? En même temps je n'aurai jamais cru en arrivé là, si jeune et surtout sa part... ce n'est qu'orgueil, non dit et m'en foutisme. De toute façon, ce n'est qu'un idiot... et je suis encore plus idiote que lui. En faite, on est tous idiots... donc ça change rien.
C'est fou, je n'aurai jamais cru que ça me rendrait aussi triste l'amour... et franchement pas aussi tôt. C'est faux, il ne fait pas vraiment beau quand on aime, il y a toujours cette chose. Tant que je n'ai pas vu, je n'y croirai pas. Voici une phrase qui m'avait souvent énervée, mais je l'écris, peut-être que certains l'ont cette amour.
La mienne me fait mal, comme la majorité. Je me sens vraiment idiote...
Je me suis raccrochée à trois raisons de vivre, carrément idiote pour moi :
- La réussite professionnelle
- La réussite sentimentale
- Le bonheur d'être mère
Déjà les deux premières sont tout à fait idiotes, la troisième vaut-elle de vivre ? Pour moi, la vie est comme l'amour, un gros mensonge qui m'énerve à un point. Question essentielle : Pourquoi vivons nous ? Harah ! Cause de beaucoup de suicides et peut-être du mien. On nait, on respire, on mange, on chit, on baise et on meurt ?
Excusez-moi mais c'est tellement idiot... C'est effarent, je préfèrerais être le poison que vous bouffez, ou mieux l'arbre poser dans un parc qui se ferait pisser dessus une dizaine de fois par jour ou l'arbre poser dans la forêt pour qu'un sanglier se gratte. Rah ! Servir de grattoir ! Quelle joie !
Au début, je voulais me dire que je trouverai la réponse de la raison de vivre en aimant, bien non... tellement triste... Je crois que c'est l'adolescence, le temps de me faire à l'idée que je devrai paraître comme un robot dans sa routine le restant de ma vie...
Pff quelle ironie !
Des fois, je reste, couchée dans mon lit, à fixer les marques sur mon poignet. Je crois que j'ai besoin de vraiment me sentir vivante, de vérifiée que du sang coule de mes veines, que je ne rêve pas. Des fois, j'espère me réveiller et découvrir que je ne suis rien et tout. Je ne sais pas si je tiendrais longtemps...

Ha, Ha! Pourquoi rejeter sa composante animale? Elle est au moins la moitié de nous ... et c'est bien grâce à elle que nous sommes, que tu es.
De plus, je ne la tiens pas comme bestiale... Disons que c'est notre mécanique, notre fonctionnel!

Te rends-tu compte aussi que manifestement, dans ton texte, c'est une des composantes, une des sources de tes pensées?

De façon générale, je pense que nous sommes trop influençables et que ce sont les normes des autres qui ne nous conviennent pas forcément.

Vis ta vie à ta vitesse et suivant ce que tu es au fond de toi. Ne rejète pas ces côtés de toi qui, pour le moment, ne semblent pas encore te convenir. Ils se révèleront un jour... mets en attente.

Tres personnel comme texte dis moi !
Haaaa, l'adolescence et ces dizaines de milliers d'hormones à fleur de peau..
Crois-en les quelques années qui nous séparent, l'âge que tu vis, c'est bien le + ingrat.
Quand je me repenche sur mes années collège, crois moi, ce n'est pas la période la plus heureuse de ma vie.
Les années lycée ne sont pas pareilles...Ce n'est pas le bnheur, loin de là, mais c'est..différent.
Et ne pas croire que cette question ne concerne que l'adolescence. Je suis persuadée que les adultes se tourmentent aussi. L'amour, la recherche de l'amour, c'est universel...

Je suis de l'avis des deux commentaires précédents.

Texte très... pensé. Il est maladroit et réfléchi à la fois, ce qui le rend tout à fait charmant.
Tu as le temps va. L'Amour est un mot que l'on rencontre sous un milliers de formes différents, jusqu'à ce qu'une nous marque à jamais.
Tu le sauras bien assez vite.
En attendant comme l'a dit si sagement Francky (^^) : Vis la vie à ton allure...

13 ans Mwaaaaah...

Tu sais, je ne me souviens pas m'être dit, une fois dans ma vie "Tiens, là je suis heureux".
J'ai vécu mes années collège "candidement", mes années lycée "noirement", mes années post-bac "solitairement".
Je n'ai trouvé que très, très tard ce que je cherchais. Et pourtant, j'ai un souvenir bien plus...reconnaissant du temps d'avant.
J'ai brouillonné un jour "merci au mal de m'avoir mené au bien". Mon coeur a longtemps nagé dans une noirceur indicible, mais je suis profondément satisfait que ça se soit passé comme ça.

Tout est bon à prendre, tout ce que tu vis, c'est toi et ça sera toi. Même si ça paraît long à en crever, c'est maintenant, là que tu deviens Toi, ça ne pourra que t'être bénéfique.

Courage

^^ Merci