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 Tant que le coeur Bat : Chapitre I

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cha-pline
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cha-pline


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MessageSujet: Tant que le coeur Bat : Chapitre I   Tant que le coeur Bat : Chapitre I EmptyMer 13 Aoû - 0:57

Incroyable ! Cha-Pline s'est lancée !
Je sais que c'est assez long, surtout à lire comme ça, sur un post, mais j'espère qu'il y aura des courageux pour descendre en flèche ce brin de texte pour que je puisse l'améliorer. Je doute toujours sur les débuts, je les trouve trop rapide, trop dans le vif du sujet...
Il s'agit du tout premier chapitre, en espérant qu'il vous plaira et que la longueur de vous découragera pas ! Smile



I


Mystérieuse.
Un seul mot. Un simple adjectif. Quatre syllabes. Onze lettres.
Je pense que c’est comme ça qu’on pourrait la définir. Cette fille était mystérieuse. Dans sa façon de parler, mais de bouger également. Elle avait une sorte d’aura mystique autour d’elle qui se dégageait au moindre de ses mouvements.
Quand elle était dans ma classe, j’avais toujours un sentiment étrange, une chaleur inhabituelle qui m’envahissait. Les élèves, souvent frileux, se plaignaient de ces fenêtres toujours ouvertes mais c’était plus fort que moi, c’était incontrôlable.
Ca y est, je vous entends déjà penser que j’ai des pensées malsaines pour un professeur, que rien que le fait d’écrire cette histoire est inadmissible et que le sort qui m’a été réservé est amplement mérité. Je n’enseigne plus bien évidemment. Après une telle histoire, on est douché de tout contact avec des jeunes gens qui ne sont, finalement, pas si naïfs qu’on peut le penser. Plus aucun établissement ne voudrait de moi de toute façon, je suis sur une liste noire bien dégradante pour l’être humain que je suis.
Cette jeune lycéenne responsable de mes soucis s’appelait Raphaëlle. Elle s’appelle toujours Raphaëlle. Raphaëlle Ranier. L’allitération de son nom aurait du me prévenir que cette fille ne pouvait pas être saine. Ce son agressif qui surgissait à chaque fois que l’on prononçait son nom aurait du me mettre la puce à l’oreille. Mais non. Je ne suis pas prof de français, je ne fais pas attention à ce genre de chose. Son nom était donc un mystère de plus pour moi.
Ses camarades de classe la surnommaient Opale. Je n’ai pas mis longtemps à comprendre pourquoi. Au premier regard, ce nom lui allait comme un gant. Sa peau était d’un blanc laiteux et pur, ses cheveux étaient longs, noir-ébène et bouclaient à leur extrémité. Ses yeux, eux, étaient d’un bleu profond qui ne laissaient aucun doute sur sa personnalité. Elle était d’une beauté singulière. Elle était la preuve vivante que les yeux sont le reflet de l’âme.
Le jour de la rentrée, lorsque je fis l’appel et qu’elle leva d’une fausse timidité la main sans prononcer aucun mot, je compris à son regard que ce n’était pas une adolescente comme les autres. Je sais que cela peut vous paraître étrange… Jugez-moi autant que vous le voulez, de toute manière, qu’y pourrais-je ? Vous êtes cachés derrière les petites pages de cet ouvrage et je suis là, à vous compter ma vie sans être véritablement à vos côtés. Si je vous ennuie ou vous dérange, vous pouvez toujours faire un autodafé, me faire taire en rangeant mes écrits au fin fond de votre bibliothèque ou même les revendre. De toute manière, qu’y pourrais-je ? J’ai 29 ans. Presque 30. Mon instinct d’enseignant n’est peut-être pas aussi développé qu’un dinosaure qui aurait vingt années de carrière, mais c’est la réalité et elle est ainsi. Quelle vous plaise ou non.
Le soir même de cette première rencontre scolaire, je détaillai toutes les fiches de présentation de mes nouveaux élèves. A ce moment, Opale – Raphaëlle pardon- était une terminale ES parmi tant d’autres. Malgré mon statut de professeur, j’aime connaître personnellement mes élèves. N’y voyez rien de malsain, j’aime juste savoir qui sont les personnes avec qui je vais passer une année entière. Quoi de plus légitime ? J’aime connaître leurs passions, leurs projets, leurs goûts et leurs positions familiales. Je découvris des sportifs, des danseurs, des musiciens, des mordus de poker ou d’équitation. La fille Ranier était différente des autres. Il y avait tous les coordonnées nécessaires, mais les autres cases étaient vides. Cette fille n’avait aucune passion, aucune occupation, aucun intérêt pour rien. C’est une fin en soi. Elle n’avait répondu qu’à la question « dernières lectures ». Des choses qui me changèrent de Musso, de Gavalda ou de Harry Potter. Elle avait noté du London, du Kérouac ou du Krakauer. Cette élève était une grande rêveuse, aux pieds instables. Cela me fit sourire. Mais à la dernière ligne, à la question « projet pour l’avenir », de son écriture fine et droite, elle avait noté : « La semaine qui suivra mes dix-huit ans, je disparaîtrai. »
Je restai longtemps à méditer cette réponse. Simple envie de liberté ou délire psychotique ? Appel indirect au secours ou amusement puéril ? Sa feuille était quasiment vide. J’en conclus hâtivement que cette jeune fille devait souffrir intérieurement. Extérieurement aussi peut-être mais le peu que j’en avais vu n’indiquait rien de problématique. Au contraire. Une légère maigreur peut-être.
Ce fut le début de notre relation.

Le lendemain ou le surlendemain, je ne sais plus, la Terminale 4 entra dans ma classe d’histoire. Le chahut me montra qu’il s’agissait d’une classe qui avait déjà certaines relations, probablement dues à l’année précédente. Il n’y avait que trois ou quatre personnes de calmes, exclues, d’après mon analyse du groupe. Mais pas pour longtemps, ce serait mal connaître l’état d’esprit d’une classe qui fonctionne. Je remarquai qu’Opale s’installa à une place au fond, toute seule. Elle entreprit d’ouvrir un épais cahier et se mit à griffonner quelques lignes. Quand je pris la parole pour la première fois, elle leva le nez quelques instants de ses notes puis referma son cahier et se mit à fixer la carte qui pendait au mur. Je présentai alors ma matière, les différents thèmes prévus, les épreuves du Bac, et répondis aux questions posées. L’heure passa très vite et en inspectant la classe, j’observai que Raphaëlle n’avait toujours pas quitté des yeux la carte du monde.
- Je vous dérange dans votre rêve ? demandai-je en souriant.
- Si je peux me permettre monsieur Michael Perrot, votre braguette est ouverte.
J’entendis pour la première fois le son de sa voix. Ce fut un éclat de rire général qui accueillit cette judicieuse remarque. Elle ne m’avait même pas regardé, elle était toujours plongée dans son analyse de la carte. Je fermai discrètement mon pantalon, m’assis à mon bureau et clamai d’une voix qui fit stopper toutes les discussions parasites :
- J’apprécie votre sens de l’humour mademoiselle Ranier. J’espère que vous saurez me divertir une nouvelle fois tout à l’heure, à la fin du cours.
Elle hocha simplement la tête sans quitter son point fixe d’observation. Etait-ce l’Alaska ?
- Et c’est ici que cela se passe mademoiselle. Le planisphère se passera bien de votre compagnie, je vous assure.
Elle leva la mer bleue de ses yeux et me fixa d’un air amer. Son visage n’exprimait aucune émotion, mais ses yeux renvoyaient une lueur colérique et blessée. Comme si sa vie avait été liée à cette carte et qu’en empêchant cette minutieuse analyse, je l’envoyais directement dans la tombe. Quiconque ne serait pas déstabilisé par ce regard foudroyant devrait aller consulter car il se pourrait bien que son cœur soit fait de pierre. J’eus un mal fou à me reconcentrer et à terminer mon cours. Elle s’en aperçu, j’en étais persuadé. Il ne pouvait en être autrement, cette gamine lisait en moi comme dans un livre ouvert. J’aurais dû à ce moment précis, prendre mes jambes à mon cou, signer sur-le-champ ma démission et me reconvertir dans quelque chose d’autre. On ne gagne pas ce genre de bataille. On y perd de la sensibilité, du temps et beaucoup d’énergie mais c’est un combat perdu d’avance. Fuir l’ennemi, c’est lâche mais l’être humain est programmé pour survivre et il faut parfois laisser sa fierté au vestiaire. Je me forçai donc à reprendre les différentes tâches commencées et au fil de l’heure, mon angoisse se dissipa. C’était un comble, je vous l’accorde : un prof qui a peur de son élève… Quand un aviateur a le vertige, on l’oriente vers la poterie pour éviter les accidents. Quand un enseignant craint ses élèves ou manque d’autorité, c’est la même chose. Pourtant, je vous jure, ce n’était pas ma première année. J’avais acquis une expérience non négligeable et les années précédentes s’étaient relativement bien déroulées : aucun débordement, des élèves plus ou moins respectueux que j’arrivais à recadrer au moindre faux pas, sans pour autant devenir un inquisiteur. Ma jeunesse me donnait un grand avantage sur mes collègues plus anciens : je pouvais comprendre leurs soucis d’adolescents. Après tout, j’en étais un aussi. Le respect mutuel était une valeur importante pour moi, et les relations avec mes élèves étaient uniques. C’est ce que je pensais avant de me confronter au problème Ranier. Comment un seul regard, un seul sarcasme, avaient-ils réussi à tant me perturber ?
La cloche retentit. J’avais complètement oublié mon rendez-vous, ce fut elle qui attendit, assise, alors que les autres élèves sortaient. J’effaçai le tableau et quand ils furent tous partis, je m’approchai de sa table et m’assis sur le bureau en face du sien. Elle me regarda droit dans les yeux, je l’affrontai avec beaucoup de difficultés. Ce combat dura peu mais une éternité me sembla s’être déroulée devant moi.
- Votre sens de l’humour est assassin, mademoiselle Ranier. Aurais-je l’honneur de savoir si cette insolence est naturelle chez vous ou si c’est votre désir d’amuser la galerie qui prend parfois le dessus sur votre comportement surprenant. Seriez-vous bipolaire jeune demoiselle ?
Elle ne répondit rien
- Bien. Si vous avez perdu l’envie d’ironiser, j’avais quelque chose d’autre à vous dire. Voyez-vous, je suis plutôt jeune et je connais aussi bien que vous les problèmes des adolescents. J’aime connaître mes élèves et j’ai analysé les fiches de présentation. J’ai trouvé la votre quelque peu surprenante.
Elle ne répondit toujours rien, je repris.
- Votre passion pour les voyages, bien que non-notée, est très palpable et cela grâce à vos lectures. Rassurez-vous, à votre âge, j’avais aussi les pieds qui me démangeaient… C’est surtout à cause de votre projet d’avenir que je m’inquiète. Vous avez noté « La semaine qui suivra mes dix-huit ans, je disparaîtrai ».
Elle n’hocha même pas la tête.
- Bien, si vous ne souhaitez pas en parler, je comprends. Mais je me verrai dans l’obligation de faire un rapport à votre professeur principal. Ce genre de blague, si cela en est une, doit rester très surveillée dans le monde des ados.
Elle prit son sac en bandoulière, se leva et se dirigea vers la porte. Je l’attrapai par le bras pour la retenir et elle s’arracha de moi d’un coup sec en répliquant d’un air presque possédé :
- Non. Je vous fais peur. C’est pour cela que vous essayer de me sauver. Ce serait tout de même plus commode de garder une petite Antigone vivante et muette dans ce palais. Vous êtes trop sensible pour faire un bon tyran, voilà tout. Mais vous allez tout de même me faire mourir tout à l’heure, et c’est pour cela que vous avez peur. C’est laid un homme qui a peur.

Et elle s’enfuit en courant dans les dédales de couloirs du lycée. Je n’en cru pas mes oreilles. J’étais persuadé d’avoir rêvé cette scène, j’étais persuadé que cette tirade n’avait eu lieu qu’à l’aide de mon imagination tourmentée. Pourtant, je dus bien me rendre à l’évidence que je venais d’entendre la réponse la plus surprenante de toute ma pauvre carrière. Je me rassis à mon bureau et attendis. Quoi ? Je n’en ai aucune idée mais je restai planté là à attendre. Je venais de prendre une claque verbale, une grosse claque. Impressionnante et bouleversante. A la fois tragique et incompréhensible. Elle l’avait prononcée d’un ton tellement puissant…Est-ce que cela avait été préparé ? Je n’en avais absolument aucune idée.
Il me fallut du temps pour me rappeler de quelques mots employés. Je me souvins d’un « palais ». De quel palais parlait-elle ? Etais-ce une métaphore pour parler du lycée ? Mais surtout, il y avait ce nom qui me tracassait beaucoup : Antigone. Cela me mit mal à l’aise. Je ne savais plus quoi penser. J’avais un pressentiment. Aussi étrange soit-il, il fallait que j’aille vérifier. Je ramassai toutes mes affaires et couru vers la bibliothèque du lycée. Je m’arrêtai en chemin. C’était stupide. J’étais stupide. Il fallait que cela cesse. Si cette fille m’avait récité un morceau du Antigone d’Anouilh, il n’y avait aucune raison que je cherche plus loin. Je devais faire preuve de maturité. Si cette élève se prenait pour une héroïne tragique, ce ne serait que l’encourager dans ses délires. Et après tout, n’était-ce pas la preuve que j’avais à faire non pas à une grande gueule inculte mais plutôt à une fille cultivée, citant avec une rage hors du commun le passage d’un classique pour se démener d’une situation embarrassante. En y réfléchissant bien, c’était simplement brillant. Quelqu’un vous ennuie avec trop de questions ? Prenez un air de grand tragédien et récitez un morceau de Phèdre ou d’Andromaque et partez en courant.
Bon Dieu, c’était brillant.

C’est peut-être mon côté obsédé qui, une fois rentré chez moi, me fit repasser en boucle cet épisode peu commun. Pourquoi Raphaëlle avait-elle choisi un morceau d’Antigone ? Pourquoi m’avait-elle dit que j’étais trop sensible pour faire un bon tyran ? Certes, c’était probablement la suite de la réplique, mais comment avait-elle choisi cet extrait ? Elle avait compris qu’elle m’intimidait, c’était devenu une évidence pour moi et cela me terrorisait au plus haut point. Et surtout, oui, surtout, comment avait-elle su mon prénom ? La première fois que j’avais entendu le son de sa voix, elle avait dit « Monsieur Michael Perrot ». Cependant, je n’avais jamais dit mon prénom, surtout pas à mes élèves. C’était un principe que je m’appliquais à respecter. Non pas par prétention, mais parce que cela laissait une certaine distance avec des élèves qui pouvaient être un poil plus jeune que moi. Surtout à mes débuts. Mes affaires n’étaient pas personnalisées, mes stylos étaient tous publicitaires. Il devait y avoir une autre solution.
J’avais dû connaître cette fille avant d’enseigner.
Cette possibilité m’empêcha de dormir cette nuit-là.
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Franck
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Franck


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MessageSujet: Re: Tant que le coeur Bat : Chapitre I   Tant que le coeur Bat : Chapitre I EmptyMer 13 Aoû - 8:28

Je suis un piètre lecteur!
Alors quoi dire?
L'histoire me plaît même si du point de vue de l'expérience, je crois que ce que tu décris est un peu prématuré dans le sens où cette "liberté", cette "fantaisie" par rapport aux relations classiques peut arriver mais au deuxième cours ou à la deuxième semaine ou plus tard, dans un deuxième temps. Un prof doit intégrer beaucoup de nouveaux dans son esprit - et de nouveau si il enseigne pour la première fois dans le bahut.
Y a-t-il de la place pour un échange "libre" qui tiendrait plus de l'extérieur que de ce carcan qu'est l'établissement scolaire dans les premières heures? Sûrement mais peut-être plus tard lorsque tout semble redevenir fluide.

De la même façon ton texte est dense. Je le verrais plus "délayé" quitte à y introduire des personnages de second plan que nous pourrions retrouver plus tard, des encadrants et des élèves. Et de consacrer un deuxième chapitre à Raphaëlle; ce qui ne serait pas forcément malvenu si on imagine deux heures de cours à la suite et interrompues par la récré.
Voilà, je vois bien le chap I comme une heure de la semaine suivante ou après et avec des flashs-back où le prof se remémore les heures de la première semaine, machin qui déjà arrive en retard, intervention de Monsieur X, proviseur-adjoint, bruits du lycée qui parviennent pendant ces heures de silence et de découverte de la classe, etc. Et aussi de placer le lycée au sein d'un environnement, pompiers, sirènes, odeurs qui viennent d'une torrefaction du café, atelier tout proche. Bref, planter un décor actif... trop classique peut-être.
En fait, je conçois bien un scénario tels les épisodes des séries télévisuelles actuelles avec des anecdotes et des histoires secondaires transversales* - un peu comme si c'était une corde tressée dont le fil principal est le fil de ton histoire et ce qui se révèlera au fur et à mesure. Question: dois-tu tout de suite focaliser sur le prof et la fille?
Et je trouve ton prof d'histoire-géo bien cultivé... scratch (dans l'instant! Bien sûr, il peut retrouver par la suite ses classiques et d'y repenser mais de le voir tel un prof de lettres où immédiatement lui viennent à l'esprit... je m'interroge)

Sinon, chapeau chapline... Chapi-chapo!

note*: et pourquoi cela? J'avais fait une remarque similaire pour Mon rêve? Il! de Lacrima.
Est-ce moi qui suis conformé au zapping actuel? Sûrement mais nous le sommes tous un peu. Et la concentration n'existe qui si on change d'attention... les grands travailleurs passent 20 à 30 minutes sur quelque chose puis passent à autre chose quitte à revenir. Deux histoires qui se croisent comme dans les experts, dans NCIS, dans...? Un histoire principale et d'autres accessoires? Pourquoi pas? Ce peut être un très bon classique sans pour autant avoir à souffrir à ce genre actuel qui pourrait paraître futile, cela peut avoir du fond.

PS: l'heure de ton message, c'est du IS plein pôt! Son poème... Purée, elle doit s'embêter sans le forum... lol!
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anahee
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MessageSujet: Re: Tant que le coeur Bat : Chapitre I   Tant que le coeur Bat : Chapitre I EmptyMer 13 Aoû - 10:57

Je viens tout juste de finir de lire ton premier chapitre et j'aime beaucoup.

On vit l'histoire et les sentiments du professeur profondément. Tes adresses et questions au lecteur donnent plus d'émotions et nous rapprochent du personnage.
De plus, ton histoire comporte beaucoup du mystère. Que ce soit cette fille (son nom, ses répliques, etc.) que le fait qu'ils se soient rencontrés auparavant. Ca crée du suspens et on a envie de vite lire une suite. On est carrément emportés.

Ensuite, comme dit Franck, c'est vrai que ton texte pourrait être un peu "délayé". Seulement, je ne sais pas si l'introduction de personnages secondaires serait judicieuse. J'ai peur que cette introduction allège l'attention que l'on a mis sur cette relation et que ça l'affaiblisse. Peut-être, pourrais-tu, dans le chapitre 2, décrire la même scène, mais cette fois sous le regard d'Opale ?

En tout cas, sache que j'ai adoré et que j'attends impatiemment de lire une suite =)
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cha-pline
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MessageSujet: Re: Tant que le coeur Bat : Chapitre I   Tant que le coeur Bat : Chapitre I EmptyMer 13 Aoû - 12:49

Franck a écrit:

L'histoire me plaît même si du point de vue de l'expérience, je crois que ce que tu décris est un peu prématuré dans le sens où cette "liberté", cette "fantaisie" par rapport aux relations classiques peut arriver mais au deuxième cours ou à la deuxième semaine ou plus tard, dans un deuxième temps. Un prof doit intégrer beaucoup de nouveaux dans son esprit - et de nouveau si il enseigne pour la première fois dans le bahut.
Y a-t-il de la place pour un échange "libre" qui tiendrait plus de l'extérieur que de ce carcan qu'est l'établissement scolaire dans les premières heures? Sûrement mais peut-être plus tard lorsque tout semble redevenir fluide.
De la même façon ton texte est dense. Je le verrais plus "délayé" quitte à y introduire des personnages de second plan que nous pourrions retrouver plus tard, des encadrants et des élèves. Et de consacrer un deuxième chapitre à Raphaëlle; ce qui ne serait pas forcément malvenu si on imagine deux heures de cours à la suite et interrompues par la récré.
Voilà, je vois bien le chap I comme une heure de la semaine suivante ou après et avec des flashs-back où le prof se remémore les heures de la première semaine, machin qui déjà arrive en retard, intervention de Monsieur X, proviseur-adjoint, bruits du lycée qui parviennent pendant ces heures de silence et de découverte de la classe, etc. Et aussi de placer le lycée au sein d'un environnement, pompiers, sirènes, odeurs qui viennent d'une torrefaction du café, atelier tout proche. Bref, planter un décor actif... trop classique peut-être.

Et là, j'ai envie de dire : Youpi, un prof dans les parages ! santa Tes conseils vont mettre très précieux cher Franck car je ne connais pas l'envers du décors, je ne peux que l'imaginer ! Tu as tout à fait raison en ce qui concerne le début : je m'en doutais, il est un peu trop rapide...J'ai moi-même un ami prof (eps) qui m'avait raconté un jour qu'une rentrée est assez compliquée, surtout dans le sens où il faut digérer pas mal de choses en peu de temps... Mon personnage ne devrait pas se focaliser tout de suite sur elle mais surtout sur toutes les nouvelles choses qui lui arrivent en une toute petite semaine. Pour ensuite se mettre en tête cette fille. Planter plus le décors, l'environnement dans lequel il travaille, évoquer certains personnages, comme la proviseur, qui ont leur petit rôle vers la fin... Parce que sa vie privée, elle arrive dans le 2eme chap ! (Notre cher prof n'est pas, à l'origine, un coeur à prendre....)

Franck a écrit:

Question: dois-tu tout de suite focaliser sur le prof et la fille?
Et je trouve ton prof d'histoire-géo bien cultivé... scratch (dans l'instant! Bien sûr, il peut retrouver par la suite ses classiques et d'y repenser mais de le voir tel un prof de lettres où immédiatement lui viennent à l'esprit... je m'interroge)
Non, je ne dois pas tout de suite focaliser sur la relation Michael/Raphaëlle, mais sur Michael, oui. Après tout, il est le narrateur et tout le bouquin tourne autour de lui, de ses pensées, de ses amertumes et autres...Et bien sûr Opale prend a un rôle très important dedans.... Et pour de ce qui est d'Antigone ! Enfin Franck, tout le monde connait les répliques de cette oeuvre ! : What a Face Non, je plaisante ! Mais il me semblait que c'était plus facile à retrouver dans le sens où la fille prononce le mot ANTIGONE ! Mais si tu trouves que c'est trop rapide, je pense que je devrais allonger un peu plus le temps de réaction et finalement, le faire rentrer dans le CDI où il trouverait un exemplaire mis en évidence, par les bons soins de Raphaëlle... Mais sache que cette petite réplique n'est pas gratuite et qu'elle est lourde en sens, surtout pour le passé de Raphaëlle ! Mystère et boule de gomme !

Franck a écrit:

les grands travailleurs passent 20 à 30 minutes sur quelque chose puis passent à autre chose quitte à revenir. Deux histoires qui se croisent comme dans les experts, dans NCIS, dans...? Un histoire principale et d'autres accessoires? Pourquoi pas? Ce peut être un très bon classique sans pour autant avoir à souffrir à ce genre actuel qui pourrait paraître futile, cela peut avoir du fond.
Il y a de nombreux flash back dans mon histoire, c'est ce qui permet à mes personnages de prendre de l'ampleur psychologique ! Il y a des histoires parallèles, des personnages secondaires importants pour la stabilité....Enfin, tout ne tourne pas (entièrement) sur Opale ! Smile
En tout cas, merci de tes compliments et de tes nombreux conseils et si tu en as d'autres, je suis preneuse !


anahee a écrit:
Je viens tout juste de finir de lire ton premier chapitre et j'aime beaucoup.
On vit l'histoire et les sentiments du professeur profondément. Tes adresses et questions au lecteur donnent plus d'émotions et nous rapprochent du personnage.
De plus, ton histoire comporte beaucoup du mystère. Que ce soit cette fille (son nom, ses répliques, etc.) que le fait qu'ils se soient rencontrés auparavant. Ca crée du suspens et on a envie de vite lire une suite. On est carrément emportés.
Ensuite, comme dit Franck, c'est vrai que ton texte pourrait être un peu "délayé". Seulement, je ne sais pas si l'introduction de personnages secondaires serait judicieuse. J'ai peur que cette introduction allège l'attention que l'on a mis sur cette relation et que ça l'affaiblisse. Peut-être, pourrais-tu, dans le chapitre 2, décrire la même scène, mais cette fois sous le regard d'Opale ?
En tout cas, sache que j'ai adoré et que j'attends impatiemment de lire une suite =)

Huhu, merci ! Very Happy Si tu t'es sentie emportée dans ce tourbillon (qui ne fait que commencer), je crois que c'est le plus beau des compliments.. Par contre, pour de ce qui est de la description d'un autre point de vue, je ne pense pas que ce soit faisable. Michael est le narrateur et casser ce rythme pourrait être très détabilisant... En revanche, par la suite, on apprend complètement la mise en scène de Raphaelle (parce que c'est de la mise en scene!), pourquoi elle fait ça, dans quel but et surtout....c'est elle qui s'explique !
La suite....Je vous en donnerai peut être un autre morceau...Le début du 2eme chap probablement ! Smile
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MessageSujet: Re: Tant que le coeur Bat : Chapitre I   Tant que le coeur Bat : Chapitre I EmptyMer 13 Aoû - 13:16

Il y a aussi la nécessité chez l'enseignant de ne pas laisser le lait sur le feu, de ne pas laisser le lait déborder... Image maladroite peut-être mais pour dire que la réaction de Mickaël à la remarque et au comportement de Raphaëlle me semble impossible ou faussée car M. ne peut se permettre que d'autres en profitent pour s'illustrer d'entrée. Ce n'est pas une question d'insolence mais il faut comprendre que dans cette relation existe l'impérieux besoin de contenir... nous n'avons pas de chien de berger... Tant que le coeur Bat : Chapitre I 972916 comme auxiliaire de discipline...
Je perçois donc que tu aurais écrit ce passage comme s'il s'agissait d'un huis-clos, s'un tête-à-tête entre M. et R. et ce n'est pas le cas.
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MessageSujet: Re: Tant que le coeur Bat : Chapitre I   Tant que le coeur Bat : Chapitre I EmptyMer 13 Aoû - 14:32

Franck a écrit:
Il y a aussi la nécessité chez l'enseignant de ne pas laisser le lait sur le feu, de ne pas laisser le lait déborder... Image maladroite peut-être mais pour dire que la réaction de Mickaël à la remarque et au comportement de Raphaëlle me semble impossible ou faussée car M. ne peut se permettre que d'autres en profitent pour s'illustrer d'entrée. Ce n'est pas une question d'insolence mais il faut comprendre que dans cette relation existe l'impérieux besoin de contenir... nous n'avons pas de chien de berger... Tant que le coeur Bat : Chapitre I 972916 comme auxiliaire de discipline...
Je perçois donc que tu aurais écrit ce passage comme s'il s'agissait d'un huis-clos, s'un tête-à-tête entre M. et R. et ce n'est pas le cas.




La remarque qu'elle fait en classe ou la réplique d'Antigone ?
Car à part la reflection faite sur la braguette du prof, tout se passe en tête à tête, ils ne sont que deux dans la classe....

"Pour s'illustrer d'entrée " ? Comment ça....
Bon, il faut savoir que R. connait parfaitement bien M. puisqu'ils se sont déjà rencontrés avant mais ça, M. ne s'en souvient plus...
Je pense que cette connaissance de sa part, puisqu'elle organise tout, permet cette familiarité dans les propos. C'est déconcertant, oui, mais c'est ça, Raphaelle.
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MessageSujet: Re: Tant que le coeur Bat : Chapitre I   Tant que le coeur Bat : Chapitre I EmptyMer 13 Aoû - 14:47

Ouh! Tout ça devient est bien alambiqué...
Es-tu sûre qu'une histoire complexe révèle une épaisseur psychologique? Car si M. ne s'en souvient pas, sa réaction devrait être différente.
Quant à tes précisions.. je ne sais plus! ( Et là, c'est à corriger car tout lecteur pourrait s'y perdre, j'ai lu avec attention. Peut-être trop d'enchevêtrements...? Ce qui reviendrait à un écrit trop dense?)
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MessageSujet: Re: Tant que le coeur Bat : Chapitre I   Tant que le coeur Bat : Chapitre I EmptyJeu 14 Aoû - 8:22

Tant que le coeur Bat : Chapitre I 529661 Je savais bien que tu avais déjà mis un extrait.... https://jai-tr0p-a-dire.forums-actifs.com/amitie-amour-f24/tant-que-le-coeur-bat-t301.htm#2783
Je ne sais pas où tu veux emmener tes lecteurs mais je pense que l'histoire doit être assez simple malgré tout sinon on peut perdre le fil.
Sur ce...
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MessageSujet: Re: Tant que le coeur Bat : Chapitre I   Tant que le coeur Bat : Chapitre I EmptyJeu 14 Aoû - 16:53

Bien sur qu'il ne faut pas sortir de Polytechnique pour comprendre ce roman, c'est de la littérature de gare et donc largement compréhensible.
Je me suis peut etre mal-exprimée, tant pis..
Par contre, ce qui m'interesse, c'est de savoir toi, en tant que prof, comment réagirais-tu face à une gamine comme ça, et en ignorant tout du passé...
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MessageSujet: Re: Tant que le coeur Bat : Chapitre I   Tant que le coeur Bat : Chapitre I EmptyJeu 14 Aoû - 17:03

Moi? Mais je ne sais pas... D'emblée, le recul et la méfiance mais comme je ne connais pas l'histoire donc... et ce ne sont pas deux passages qui peuvent m'éclairer.
Mais connaissant ta perversité ^^! et donc devinant le rôle que tu veux faire jouer à R., je prends mes jambes à mon cou et je m'enfuis. Tant que le coeur Bat : Chapitre I 972916
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MessageSujet: Re: Tant que le coeur Bat : Chapitre I   Tant que le coeur Bat : Chapitre I EmptyJeu 14 Aoû - 20:05

Franck a écrit:
Moi? Mais je ne sais pas... D'emblée, le recul et la méfiance mais comme je ne connais pas l'histoire donc... et ce ne sont pas deux passages qui peuvent m'éclairer.
Mais connaissant ta perversité ^^! et donc devinant le rôle que tu veux faire jouer à R., je prends mes jambes à mon cou et je m'enfuis. Tant que le coeur Bat : Chapitre I 972916


mdr ! Je comprends bien qu'il faille être un peu masochiste pour rester dans une telle situation ! Wink
Dans tous les cas, je prends note et je pense que je vais y rajouter une couche de méfiance, mm si Michael n'est pas non plus tombé de la derniere pluie et qu'il arrive à se défendre de ses petits poings musclés...(c'est pas une gamine qui va faire la loi non plus ! )

Eh, oh ! Je ne suis pas perverse ! J'ai juste des tendances skizophrènes à me prendre pour Dieu et à martyriser mes pauvres petits personnages de papier ! gniark, fallait pas qu'ils se trouvent dans mon hypothalamus à ce moment là !!
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MessageSujet: Re: Tant que le coeur Bat : Chapitre I   Tant que le coeur Bat : Chapitre I EmptyJeu 14 Aoû - 22:23

OK! Et donc je devine le thème sous-jacent de ton livre, ce domaine des jeux d'échanges de pouvoir ( Ici!)... Intéressant de découvrir la vraie Pauline... Tant que le coeur Bat : Chapitre I 923144
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MessageSujet: Re: Tant que le coeur Bat : Chapitre I   Tant que le coeur Bat : Chapitre I EmptyVen 15 Aoû - 20:43

Tu es horrible FRANCKKKKK !
Entre nous, le plus pervers..huhu, tout ça reste à voir hein !
(quoi que je pense que l'on se passera volontiers des détails ! Very Happy )


La vraie Pauline....Pff, personne ne connait la vraie Pauline ici ! haha
Il n'y a que Cha-Pline...
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MessageSujet: Re: Tant que le coeur Bat : Chapitre I   Tant que le coeur Bat : Chapitre I EmptySam 16 Aoû - 5:58

cha-pline a écrit:
Tu es horrible FRANCKKKKK !
Entre nous, le plus pervers..huhu, tout ça reste à voir hein !
Horrible? Oui, peut-être un peu sur ce coup-là... Twisted Evil
Pervers? Non, pas exactement. La perversité est un art de l'ombre que je ne pratique pas... Tant que le coeur Bat : Chapitre I 394170 Mon âme est trop pure... Tant que le coeur Bat : Chapitre I 910958
Mais tu avoueras quand-même que si ce sujet est étranger à ton livre, il semble avoir beaucoup de points communs dans la forme avec les relations entre M. et R. Toujours une domination... mais comme tu es la seule à savoir où tu emmènes tes personnages, nous ne pouvons qu'imaginer, nous, pauvres lecteurs, quelle machiavélique mise en scène est prévue par R.

Et sinon,
cha-pline a écrit:
"Pour s'illustrer d'entrée " ? Comment ça....
Tu sais bien qu'il y a toujours deux ou trois amuseurs publics qui profiteront de la moindre situation de flottement pour "marquer leurs territoires"... ^_^!
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MessageSujet: Re: Tant que le coeur Bat : Chapitre I   Tant que le coeur Bat : Chapitre I EmptyDim 17 Aoû - 12:21

Oh, elle n'est pas machiavélique, elle est plus pure qu'autre chose....C'est une histoire d'amourS avant tout, les histoires de domination apparaissent évidemmment au début à cause des statuts de M&R mais je vois ça plutôt comme une fusion pour la suite...


Je vous donnerai probablement un autre passage,peut etre plus vers la fin, pour que vous puissiez juger un peu miuex...
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