Lily Lola Doranger [partie 2 là ]

Euh... Voilà le début d'une histoire que j'avais prévu de présenté à un concours libre, mais je n'ai plus le temps de terminer donc je me présenterais l'année prochaine...

Donc, je n'ai que treize ans (donc beaucoup de fautes, enfin moi j'en fait beaucoup), truc incohérent (même si je me relis...) et je me trouve extremement nulle en prose, donc ça sera surement réécrit...

Je n'ai pas eu le temps de peaufiner la fin et je ne suis pas très sûre de la ponctuation à un endroit...
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Lily Lola Doranger.

Mon histoire peut paraitre folle, mais croyez-moi. Elle est vrai, j’en suis l’auteur et celle qui le vie. Avant tout, sachez que nous avons tous une âme, au diable la science, la logique et tout ce qui est cohérent ! Oublions tout cela et même si vous n’y croyez pas, laissez-moi au moins racontez.

Tous à commencer lorsque j’avais à peine douze ans, à l’époque où la joie m’envahissait encore, et que, toute souriante je disais bonjour aux passants. Une vision me bouleversa. J’étais chez moi, allonger sur mon lit lisant un livre. Cette vision était assez claire, c’était une sorte d’image qui vint s’imposer à moi. La scène était affreuse, même si elle n’était apparue qu’une seule et infime seconde, elle restera ancré en moi le restant de mes jours.
Sur des visages terrifiés du sang mélanger à la sueur et la saleté. Leurs vêtements étaient encore plus crasseux, presque tous rougit par la guerre. Plusieurs hommes hurlaient à la mort, la suppliant de venir les prendre pour les arrachés à ces douleurs atroces. Dans l’église des malades gémissant de douleurs, des blésés, les infirmières et médecins s’entassaient dans cette endroit, donnant à tous claustrophobe une terrible migraine. Dehors, des corps gisaient encore, dans le tas, aucun visage serein, tous triste aussi triste que la guerre. À côté des corps en décomposition, un tas d’arme.
A cette vision, je courus vers les toilettes et y déversa tout mon délicieux déjeuner à grand renfort de toussotements. Ramenant mes cheveux sur mon épaule gauche, je me rafraîchis le visage. Je pouvais entendre mon cœur battant encore plus fort que le tictac de l’horloge. Je posai mes mains sur le rebord du lavabos pour arrêter ses tremblements, levant le regard, je vis que la couleur de mon visage était beaucoup plus pâle que je ne le pensais. Je sortis des toilettes, je m’assis à mon bureau, toujours tremblante je fus incapable de continuer ma lecture. Je pris une feuille et y écrivis d’une calligraphie illisible ce que je vis.
Cette vision fut la première de toute une série d’autre vision toutes plus instance l’une après l’autre, sans aucune explication. Je n’étais pas curieuse de savoir ce qui m’arrivais. Je n’en avais parlé à personne, je les décrivais simplement dans un cahier.
Le printemps de mes treize ans, j’ai eu un rêve tellement réaliste que je m’y cru, ce qui était en partie vrai.
Je m’étais endormie écoutant de la musique. Je me retrouvai dans une magnifique forêt lumineuse et verdoyante. Tranquille, je marchais croyant encore que cela était un songe.
Une petite chose chaude et douce vint me prendre le creux de la paume avec douceur. Tournant la tête, je vis une enfant, à peine l’âge d’une écolière, qui m’avait pris la main. Et là, je sentais tout ce qui était dans cette merveilleuse forêt. Toutes les odeurs de cette forêt vint me chatouiller le nez.
L’enfant m’entraina dans un sentier lumineux. Ses pas étaient sautillants, son sourire, aussi beau que celui de son propre enfant. Elle s’arrêta devant une rivière. Et s’assit calmement sur l’herbe, je vins la rejoindre.
Posant ma main sur le sol, je sentis l’herbe à peine humide de fin de journée. D’un sourire angélique l’enfant se tourna vers moi.
- Sais-tu qui je suis ? Me demanda-t-elle d’une voix pleine.
- Non.
J’avais répondu simplement, et je n’étais pas curieuse de savoir qui elle était. Je ne l’avais même pas regarder, j’étais trop émerveillée par la beauté du paysage. Au loin, à l’horizon des montages au sommet poudré de neige et juste au dessus le soleil sur le point de se coucher. Sur la rivière l‘eau reflétait le soleil, donnant la merveilleuse impression qu‘il y avait de l‘or au fond.
- Je suis ton âme, déclara l’enfant en riant presque.
Ces mots me surpris, je m‘arrachais à ma contemplation de ce paysage pour la dévisager, qu’es-ce que mon âme fabriquait sous l’apparence d’une fille de cinq ans ? J’avais cru que je délirais complètement dans ce rêve. Soudain, l’enfant aux cheveux couleurs soleil se changea en une femme rousse aux mêmes yeux anis que les miens. Et le paysage changea aussi, nous laissant dans un vaste champ de coquelicots et de haute herbe vertes foncées. Les tâche rouges s’étendaient à des kilomètres jusqu’à l’horizon. Le ciel était devenu gris foncé le vent faisait vaciller les fleurs.
La rousse me sourit.
- Je ne suis pas à l’avis de mon âme, je préfère les champs de coquelicots au forêt.
Cette phrase me laissai perplexe. Je n’avais rien suivi.
Remarquant que j’étais perdu, elle posa sa froide main sur la mienne et le champ de fleurs rouges disparut pour faire apparaitre un vaste salon à la déco rouge et gris.
Sur le canapé rouge, la même femme qui m’avait parlé au milieu des coquelicots. Elle semblait sans vie. Son visage était serein, souriant comme si elle faisait un rêve plaisant. Il semblait qu‘elle ne respirait presque plus, et sur la table basse, juste à côté d’elle, une boite de somnifère vide. Une étrange lueur s’échappait de flanc gauche, qui paraissait sortir de son cœur. L’enfant que j’avais vu était à côté d’elle. La lueur la cherchait et entre en l’âme.
- Tu vois, là c’est ma mort et notre âme qui vient me prendre mon esprit, me chuchota la jeune femme rousse du champ de coquelicots.
J’étais stupéfaite.
- L’esprit est propre à chaque vie antérieur, l’âme est simplement là comme un ange gardien et elle est la base de notre personnalité. Viens je vais te montrer.
Elle me tendait la main, une expression rassurante sur le visage. Je la pris me disant que je ne risquerais rien dans un rêve.
- Au faite ! Je m’appelle Eleanor. La dernière vie avant toi.
Dés ses paroles dites ce fut le noir complet. Seulement quelques lumière passant vite. Puis une énorme lumière qui était devant moi, au début j’avais cru à une galaxie en forme d’une immense boule. C’était bien une grosse sphère, mais à l’intérieur de milliard d’autre ballon, pour seule limite une lumière d’or et d’argent transparente.
Puis je me rendis compte que je flottais, prise d’une phobie de vertige me m’agrippa à la sphère. Mes mains poser sur la lumière, je sentis une chaleur, et un filet d’or brillant vint dessiner le contour de mes mains.
- Aie la volonté d’entré, me murmura Eleanor.
Je fis ce qu’elle dit et réussi à traverser la bulle d’or. J’avançai, au centre une grande tour blanche aux quelques reflets argenté. Elle prenait toute la hauteur hallucinante de la sphère, tout autour de milliard de petite boule d’or en mouvement.
- Magnifique, laissais-je échapper, émerveillée par ce spectacle.
Doucement, Eleanor me prit la main et nous entrâmes dans l’une des petites boules, qui de l’intérieurs était grande. Sur le bord de la sphère des pommes d’or alignés flottaient, ainsi qu‘une feuille. Je m’approchai de la feuille et lu des prénoms de femmes, pas beaucoup, environs cinq. Parmi tout en bas de la liste, y était marqué Lily, juste en dessous d’Eleanor.
Il y avait une chose que je n’avais pas encore remarqué, une chose bizarre flottait au centre de la pièce. Une chose indescriptible, sa couleur variait autour du rouge. Je m’y approcha et j’y tendis la main sans touché.
- Vas-y, me dit Eleanor d’une voix amusée.
Juste un seul contacte et un flash violent, beaucoup plus violent que mes précédentes visions. Je ne voyais rien, je ressentais simplement des choses, des sensations très bizarres. Comme si je venais juste de me rappeler de certaines choses. Son regard, l’effet de sa voix se moi, le gout de ses lèvres… Tout me revint en mémoire, mais aucune image de mon âme sœur.
- Lily ? S’inquiéta Eleanor. Ca va ? Pas trop chambouler ?
Je clignais rapidement les yeux, la lumière de la sphère me faisait mal aux yeux.
- Assis-toi, m’ordonna gentiment Eleanor.
Je me retrouva à flotté face à elle.
- Il faut que je te raconte. Il y a très longtemps, une guerre se préparait entre un puissant dieu et une déesse tout aussi forte. Prudentia, la déesse de la sagesse, reprochait à Satanas, dieu du mal, de vouloir trop faire la guerre, et elle lui demanda de s’arrêter. Celui-ci accepta, mais à une seule condition. Ils devraient envoyé des humains sur une terre accueillante, où ils étaient les seules dominants. Si les partisans du mal gagnaient, Satanas continuerait à faire la guerre, comme bon lui semble, sans que Prudentia s’en mêle. Si dans le cas contraire, ceux qui défende le bon remporte la bataille, Satanas ne ferait plus de guerre et présentera ses excuses aux personnes qu’ils auraient blessé. D’une grande assurance Satanas envoya des hommes sur Terre croyant qu’il gagnerait au premier siècle. Mais non, ça continuai. Jusque maintenant et ça va duré encore longtemps. Depuis la nuit des temps, des personnes se battent pour défendre leurs dieu. La plupart des humains ne savent rien de tout ça quand ils sont sur Terre, car on oublie. C’est une règle, si tout le monde savait, tout le monde passerait sont temps à s’entretuer. Hors ce n’est pas du vœu de Prudentia, c’est elle qui a voulu tout cela. L’âme, pour la conscience, l’au-delà, où les esprits se réunissent. Tout cela est pour mettre le plus de chance de notre côté, car Prudentia à plus de pouvoirs.
« Toi, tu es l’une des personnes qui vont défendre Prudentia, elle m’a chargé de t’apprendre tout ça. Tu es une élue. Chaque élu à un esprit qui l’aide, même ceux de Satanas. Tout le monde à un dont, mais il faut l’amplifier et en prendre conscience pour le développer. Fait attention à tous ceux qui t’entour car certains sont peut-être des Satira, les élus de Satanas. Toi tu choisis bien le camp des Prudence ? Ceux des gentils.(nda : le nom du camp j'ai pas encore choisie... peut-être du latin ou le nom d'une fleur...)
- Oui… euh… enfin c’est vrai tout ça ? Lui demandai-je perdu.
- Bien sûr que oui ! Il est temps que tu repartes. Je te revois à ton réveil !
Soudain, tout disparut et je ne vis que le rose de mes paupières à travers la lumière. Il devait être tard ! Heureusement que c’était les vacances, j’ouvrais difficilement les yeux et découvrit devant moi, Eleanor me souriant.

Il y a beaucoup d'erreurs, de maladresses, notamment au niveau de la conjugaison, du choix des temps. Certaines incohérences aussi, en effet.
L'orthographe, c'est pas si mal.
Pour ce qui est de l'histoire, c'est bien mené pour ton âge, il te suffit de t'entraîner encore et encore.
Ne t'inquiètes pas Tu y arriveras
J'attends la suite




EDITION - REVEIL GENERAL / SUJET : Lily Lola Doranger (titre provisoir) PAR : Lacrima

Eh bien ? Où êtes-vous, tous ? S'il vous plaît, je demanderai aux membres qui le veulent bien de ne pas délaisser un sujet.
Que vous aimiez ou non, donnez votre avis L'auteur est ici pour cela !
Merci d'avance.

moi pour les fautes je pourrai les recopiés sur une feuille j'en fairais un roman ^^.


Moi je trouve que l'histoire à l'air très intéressantes, moi par contre je ne peux pas te conseillé, j'ai exactement ton age donc... ( je crois même que sa serais toi qui devrai me donner des conseils )


sinon moi je demande la suite pour le plaisir

^^ merci d'avoir lu... la suite je ne sais pas quand... mais je dois déjà écrire le prochain chapitre de ma Fanfiction... et un texte pour une galerie...
J'essaierais de faire vite ^^.

pas d problème Lacrima prend le temps qu'il te faut !

La suite...

Désolée je n'ai pas vraiment relu... je me suis activée car une 3e de mon collège adore et veut la suite...
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Deux ans plus tard, j’étais prête à partir en Angleterre dans un lycée spécialisé pour les élus. Mes parents avaient simplement dis que si je voulais vraiment aller étudier en Angleterre, ils ne seraient pas contre. La dure vie d’une élue, m’étais-je souvent dit l‘air ironique. Je ne les voyais que durant les grandes vacances, les seules que j’avais.
J’ai toujours adoré étudier là-bas à l‘Academy Era. Je n’étais plus seule, enfin il y avait Eleanor, mais ce n’était pas la même chose. Je me rappelle encore de ma rentrée, un peu comme tous les élèves de l’Academy Era. Toute les rentrées étaient inoubliables.
J’avais fais toute seule le trajet avec Eleanor et à mon arrivée une jeune femme m’attendait. Elle s’appelait Lise.
Lise avait l’allure des belles jeunes femmes d‘avant la seconde guerre mondiale. Sa chevelure noire, courte, bouclée et élégamment coiffée, sur laquelle un petit béret y était posé, ses lèvres rouges vifs dessinaient un beau sourire et son magnifique tailleur d’autrefois lui donnait un charme unique. Je ai toujours admiré son chic. De suite, elle avait secoué une main enveloppé dans un gant blanc.
Durant le trajet, j’appris que Lise était aussi venue de France, il y a plusieurs années, ce qui ne m’avait pas surpris, elle m’avait accueilli en français. L’academy Era accueillait tout les élus d’Europe, mais tous devait parler anglais. Autrefois, la langue que tout les élus devaient parler était le latin, mais au fils des années, ce fut l’anglais.
L’academy était assez loin de Londres, au bout d’une demi-heure de voiture au côté de Lise, je commençais à voir une épaisse forêt sombre. Nous roulions au milieu de cette forêt, une autre demi-heure plus tard, je vis un château au loin. Elle devait daté de plusieurs siècles.
Lise m’avait annoncé que l’on était en avance, mais en passant dans les longs et hauts couloirs de l’académie, je vis quelques élèves se promener. Nous étions arrivées devant une porte en chêne, Lise posa sa main nue sur la poigné en forme de boule et la tourna.
- Voilà ta chambre Lily.
Je passais avant elle. Ses escarpins noirs, cirés frôlaient la moquette noir posé au sol. Elle posa la valise par terre.
- Voilà, si tu as besoin de moi je suis dans ma chambre. Au fond du couloir, à gauche. Sur ton bureau tu as un plan du château et ton emplois du temps avec les instructions.
La jeune femme souri, dévoilant ses parfaites dents, et d’une pareille élégance elle partit en prenant soin de fermer délicatement la porte.
J’étais restée debout au milieu de ma chambre, elle était grande. Plus grande que je ne l’avais imaginé. Une immense fenêtre faisait rentrer une lumière qui éclairait la entièrement la pièce. Je m’avançais pour voir la vue que j’avais, dehors un jardin et au loin la forêt et ses montagnes. Quelques élèves étaient assis sur un banc posé prés de buissons. Le ciel était recouvert d’une fine couche de nuages.
Après ce petit coup d’œil au jardin, je me tournais voir les papiers sur ma table. Je regardais mon bureau, en bois foncé, sûrement de l’acajou. Les ornements étaient fins, curieuse j’ouvris un tiroir, pour découvrir ce magnifique meuble.
Finissant mon inspection curieuse, je pris enfin les feuilles du plans, avec mon emplois du temps et les instructions en passant. Les yeux coller aux feuilles je me laissai tomber sur le lit double. Les draps étaient d’un blanc impeccable, d’un doux sans pareil.
Je regardais attentivement les plans, en savant très bien que je ne retiendrai rien. Il y avait quatre étages, au premier ce trouvait la salle des Lys (ou réfectoire) et l’administration. Au deuxième, les cours théoriques et la bibliothèque. Le troisièmes étages servait aux cours de pratiques magiques et de combats. Et le dernier était les chambres, il n’y avait pas de côté filles, côté garçon. Les chambres se distribuaient selon les places libres.
J’étais restée allonger sur mon lit à regarder le plafond de pierres grises, discutant avec Eleanor. Un moment, j’entendis une personne frappé à la porte d’à côté, c’était différent des bruits des élèves qui venaient. Puis quelques minutes plus tard, ce fut à mon tour d’être déranger. Je m’avançais vers la porte en passant une main dans mes cheveux légèrement ébouriffer, j’ouvris doucement la porte et découvrit Lise, souriante.
- Tu devrais descendre, c’est bientôt l’heure du dîner.
- D’accord.
Elle partit toquer à la porte voisine, en sortant le même discourt. Je voyais des élèves sortir de leurs chambre et se diriger vers le grand escalier. Je les suivis jusqu’à la salle de Lys. En observant la salle, je vis à travers les immenses fenêtres un petit champ de lys blancs. Leurs douces odeurs venaient parfumer le réfectoire éclairer par le crépuscule. Dans la salle une trentaines de tables rondes en bois sombre, face au fenêtre une longue table s’étendait en longueur, sûrement celle destiner aux professeurs. Les élèves commençaient à affluer. J’avançais dans la salle et m’installa sur une table aux serviettes vertes, comme c’était dit dans les instructions « Durant le premier repas de la semaine, les premières années devront s’assoir à une table dont les serviettes seront vertes. ».
Après que la salle soit pleine, une jeune femme blonde et d’une incroyable beauté s’avança vers la longue table face au Lys, où les professeurs étaient déjà installés. Elle promenait son regard un peu partout et offrait quelques sourires. Cette femme était la directrice des lieux, Mme Hesperis. Mi-déesse, mi-nymphe et sœur de Prudentia, cette dernière lui avait proposé ce poste il y a cinq siècles, autrefois Prudence en était elle-même la dirigeante.
- Je peux avoir le silence s’il vous plait ? Demanda-t-elle poliment tout bas.
Sa voix était tellement magnifique qu’on l’aurait entendu dans un concert de métal. Tout le monde se tut et un sourire s’épanouit sur les fines lèvres d’Hesperis.
- Merci. Je voulais seulement souhaité la bienvenue à tous et à toutes. Et que si jamais vous avez un problème ou quoi que ce soit, n’hésité pas à en faire part à mes assistantes ou moi. Voilà, conclut-elle d’un immense sourire, je vous laisse manger.
Des plats apparurent aux milieux de chaque tables rondes et nous avions commencé à manger. À ma table se trouvait ma future bande d’amis. Odile, italienne, une sorcière de sang, jeune fille à la chevelure platine et aux prunelles grises. Sam, londonien, petit rigolo aux allures de dandy. Elisabeth, irlandaise, magnifique fille aux cheveux noirs et longs, avec des yeux bleus tellement beaux qu’il pourrait être une cause d’homicide. Éternelle, franco-russe, violoniste au grand talent, fille d’une élue. Dolorès, espagnole, danseuse de flamenco. Gabriel, vrai petit ange toujours gentil et serviable. Et David… je n’ai rien à dire sur lui.

oui beau texte j'accroche toujours autant vraiment bien au niveau de l'histoire il y a de l'idée continue !