Petit "texte" écrit durant ces périodes de fêtes.
Bonne lecture !
La vie, dure et forte, forte et douce. Des claques et des baisers. Sa main qui te caresse puis qui te bat le lendemain. Le noir et le blanc, du gris ? Sa vie. Tes envies, beaucoup trop pour une seule vie. Mais espoir quand même, des espoirs. Continue d’espérer. Jamais trop d’espoir ne tuera l’espoir. Je le sais, tu le sais, nous le savons. Rêve. Ta jeunesse ? Non revis-là. Exauce ces putains de rêves enfouis au plus profond de toi-même. Ce duplex à quatre, les dimanches, l’Australie, les étoiles, ce livre, ces soirées. Libère-toi. Ouvre-toi et respire la vie à plein poumons. Tu ne disposes d’une seule et unique vie souviens-toi en toujours. Pas de « game over » ni de « play again » à profusion. Ne t’oublie jamais, accorde toujours ta plus grande attention à toi-même. Les autres suivront et te respecteront enfin. Aime-toi. La seule personne avec qui tu es condamné à vivre le reste de ta vie est toi-même. Mais profite s’il te plaît. Profite pour moi. Pas une soirée mais des soirées. Bois, bois et rebois. A outrance, sans aucune modération. Perds le contrôle. Titube, prends appui, ne marche plus droit. Profite, ne pense pas aux lendemains. Danse. Comme si les étoiles étaient tes cavalières. Tourne, saute, galipette, virevolte. Vis. Caresse-les, embrasse-les, profites-en. Ils n’attendent que ça. N’attends pas celui qui te respectera et te traitera comme une princesse, il n’arrivera jamais. Profite de leurs petits corps faibles qu’ils dissimulent comme forts. Tape, mords, griffe mais ne suce pas. Fais leur du mal, le plus de mal possible dont tu es capable. Ne rappelle jamais le lendemain. S’ils te demandent des explications ? Dis-leur simplement que tu avais trop bu et que c’est ainsi. Que ce n'est pas le bon moment pour qu'ils entrent dans ta vie. Pars. Laisse les seuls avec eux-mêmes et leurs milliers de question en tête. Ils apprendront. Et toi, profite toujours. Pas un par soir mais plusieurs. Tous autant qu’ils sont. Profite, profite, profite. Ne cesse jamais, l'infini puissance mille. Et ne tombe jamais je t’en supplie, ne t’écorche pas les genoux. Ne pose pas de questions et continuer d’avancer. N’apprends pas à écrire et réfléchir car ta vie serait alors finie. Profite je t’en supplie. Profite pour moi, pour eux. J’ai confiance en toi, tu es plus forte que tous ces chiens réunis. Je compte sur toi. Et puis : Ne dis JAMAIS je t’aime.