Un petit rien histoire de ne pas passer pour une touriste.

juste quelques mots à corriger:
Partout. Absolument dans chaque recoin de ce qui m'entoure. Dans la plus petite parcelle de mon être. Tu es omniprésente. Je vois ton visage angélique, oui, ce visage qui m'a tant fait retrouver le sourire. Le visage qui à présent me possède et me hante jour et nuit; nuit et jour. Je perçois ta main qui s'était faite moite quand j'eus la chance de te la prendre. Cette main que je rêvais de toucher, juste le temps d'une seconde, qui m'a fait vibrer sans aucune raison apparente. Pour vous. Mais mon coeur ne m'obéissait pas et battait de plus en plus fort alors qu'il lui criait : Aime-moi, aime-moi comme je t'aime. Oh, ça oui, j'étais si heureuse ! Mieux que toutes les drogues dans lesquelles on s'oublie, mieux que tout l'or du monde. Toi. Toi que j'aimais, j'aime, et j'aimerais dans n'importe quelle circonstance et du plus profond du miserable être que je suis. J'entends ton rire, tu sais. Celui que j'engendrais juste par le mien. Je me demande comment je n'en ai pas eu les côtes brisées de bonheur. Mais maintenant, tu me hantes, tu me possèdes. Pire que la torture physique, pire que la mort. Toi. Que de propos contradictoires, tu ajouteras en lisant ces ridicules lignes qui ne représentent rien d'autre que mes sentiments. Je t'expliquerais simplement que, tout comme dans les plus insignifants reportages de relooking, il y a un avant, puis un après. Tu as choisi de me briser avec le après que tu jugeais meilleur, j'ai choisi de ne réagir qu'en te crachant ma tristesse à la figure. Je n'ai pas été ignoble, non. Je t'ai seulement rendu toute la haine qui s'est accumulée en moi en lisant tes nombreux "Désolée". Et je m'en excuse.
Mais savais-tu que je comptais le nombre de jours où tu n'étais pas là ? Que j'additionnais les heures passées sans toi pour me faire oublier les chagrins qui d'ordinaire me semblaient si anodins ? Si tu avais su. Si tu avais su. Tu sais, mais tu ne savais pas. Et en ce moment, sais-tu que je tente de t'oublier sans réellement y parvenir ? Sais-tu que, toi qui fus si tristemment rongée par la jalousie, je parle de notre amitié sans lendemain à d'autres personnes ? Je te vois, je te sens, je t'entends. Tu m'obsèdes. 1, 2, 3, 4, 5. Non, tu es toujours là, je me pince, mais tu ne disparais pas. Secouée d'une vague de folie je me frappe violemment la tête contre le mur. Ce mur, tu sais, que je t'avais auparavant montré. Ce mur, de ton magnifique dessin décoré. Partout, je te retrouve partout. Partout. N'importe où. Je deviens folle, tu me rends folle, je perds tout contrôle et sombre encore une fois, tout en esperant que ce sera la dernière.

Intéressant ton texte.

C'est assez bien. Dommage que ça fasse un peu "surjoué" parfois.

Merci beaucoup, j'ai corrigé ce que tu m'as dit.
Et puis, c'est surjoué, je sais, mais comme je l'ai dit, juste le temps que je retrouve mes autres.
Merci beaucoup en tout cas.