Bon, voilà le début de mon premier roman imaginé, il y a quelques temps j'ai décidé de m'y mettre réellement pour en finir avec et commencé une autre histoire.
Juju (necro) dit que c'est à revoir
y a une fille qui dit que c'est exceptionnel... o_O bref j'aimerai que vous vous prononciez sur le style d'écriture...
Désolée pour les fautes de français...
Première partie
Une douce brise s'engouffrait dans une étroite ruelle, une douce nuit d'automne. Dans le silence religieux de la ville endormit, des pas se faisaient discret.
Dans le claire de lune, on pouvait voir les pavés usés par le temps et les passages quotidiens des habitants de la rue, car, presque personne n'y allait, c'était de ses genres de rue inhospitalière et sombre. Malgré cela, des familles bourgeoises avaient élu domicile. On distinguait cela par la seule chose visible de l'extérieur, les portes et fenêtres. Sur ces dernière, souvent, elles étaient ornées de forgeries, même des fois dorées à l'or. Des vitres bien propre faisaient apparaître de magnifique rideaux la plupart du temps sobre, mais de la meilleure qualité.
Lola Rose, elle, se promenait souvent dans ses étroites ruelles et elle y prenait même du plaisir, elles étaient toujours calme, idéale pour y songer en paix. Il était très tard, minuit était passé depuis bien longtemps. La lune se profilait et allait bientôt laisser place au tant aimer soleil. Lola observa la lune d'un air mélancolique. Elle repensait à son passer, triste passer, mais bien digérer.
Elle était devenue orpheline bien trop tôt - bien que cela ne soit toujours trop tôt. À treize ans, elle partit chez sa tante, Élisabeth, qui la recueillie à Londres juste après le triste enterrement. Elle hérita aussi d'une incroyable fortune, résultat d'une accumulation de legs. Lors de l'hiver 2011, Lola alors âgée de 16 ans perd à nouveau un parent chère, Élisabeth. Elle se rappelait bien d'elle, toujours un sourire espiègle aux lèvres et une vrai joie de vivre...
Mais soudain, elle heurta quelque chose, quelqu'un. Lola frôla sa peau, croisa ses yeux et murmura un « excusez-moi » troublé. Sans se retourner, elle continua à avancer d'un pas chancelant, sa chevelure auburn balançant à son pas pressé.
L'inconnu resta immobile, là regardant s'éloigner, jusqu'à ce qu'elle disparaisse dans une rue adjacente. Il se baissa pour ramasser quelque chose.
*
Observant l'aube, chacun songeait l'un à l'autre, troubler par cette bizarre sensation qu'ils avaient eu en se croisant. Une impression de déjà vu, et peut-être le coup de foudre si cela n'est pas trop infantile. Leurs cœurs battaient à l'unisson, tellement fort qu'ils s'entendaient dans ce silence de nuit où les pas les accompagnaient dans ce mutisme de la nature.
*
Arrivée devant le portail de sa maison, toujours en songeant à l'inconnu aux yeux gris, Lola entra dans la cour, en prenant une petite rose presque fanée au passage. Elle monta les marches qui menaient au perron avec entrain. Jetant un dernier coup d'œil à l'aurore, elle poussa la porte d'entrée où on pouvait lire ces mots en fuchsia :
« Résidence d'Eve et Lola.
Attention ! Folle à l'intérieur ! »
Avant que la porte fut fermée, une légère odeur de roses et de cannelle vint vaciller dans l'air frais d'automne. Le crapaud rose coassait encore au passage de Lola.
La jeune fille lança nonchalamment ses clés sur la table de l'entrée et se dirigea vers la salle de bain en longeant le couloir blanc aux bandes roses et argents. Elle s'assit sur le rebord de la baignoire fermant les yeux, Lola ramena sa main sur le haut de sa poitrine, persuader de trouver son collier, en vain. Soudain, ses paupières s'ouvrirent dévoilant des yeux paniqués aux iris verts pommes.
Le collier qu'elle avait cru avoir sur elle, était un cadeau de sa meilleure amie et sœur de cœur, Eve, une lointaine cousine, seule parente. C'est elle qui l'avait accueilli à seize ans, lorsqu'Élisabeth est morte. C'était un petit pendentif, un cœur en argent entrelacé de fils d'or, et au centre une petite émeraude. Au dos, de minuscules lettres formaient ces mots : « Je t'aime »
Ce pendentif, Lola y tenait vraiment et ne s'en séparait gère, sauf durant ses heures de danse. En réfléchissant un peu, elle avait passé sa nuit dans un petit studio de dans loué et elle se souvenait d'avoir tenu le pendentif et sa chaine dans la main durant toute la promenade.
- Oh non ! S'écria-t-elle.
Elle déverrouilla la porte de la salle de bain, prit ses clés en passant et retourna dans la ruelle où elle avait bousculé l'inconnu.
Au même moment un oiseau s'envolait d'un toit, Lola chercha son collier à l'endroit où ils s'étaient, pour la première fois, échangés un regard, et n'y trouva rien.
*
Dans les rues de Londres, le soleil commençait se montrer et essayer de réchauffer cette froide matinée d'automne. Les routes devaient déjà supporter le poids de quelques voitures qui étaient le début d'une longue journée.
Eve, prise de froid, commençait à ce réveiller sous les lueurs du soleil. Une affreuse migraine la prit lorsqu'elle releva la tête, « L'alcool n'est jamais une nécessité pour faire la fête. » entendait-elle répéter la voix de sa sœur, Lola. C'était dans ses moments qu'elle se disait qu'il fallait des fois écouté la sagesse de Lola.
Mais autre chose vint la perturber. Elle ne reconnaissait pas l'endroit où elle était, puis elle était nue sous un drap, ce qui n'était pas une habitude chez elle de dormir nue, surtout quand elle ne sait pas où elle était.
Puis la mémoire lui revint. La veille, tout l'équipe du tournage était allée s'amuser dans une boite de Londres. Eve se rappelait avoir bu, beaucoup trop même. Elle avait dansé avec Nicolas Oleander, l'un des plus célèbre acteur britannique, qui tenait le premier rôle avec elle. Puis, ils se sont embrassés...
- Oh my god, murmura-t-elle en découvrant Nicolas tout aussi vêtu qu'elle, juste à côté. J'y crois pas... Pas possible...
Elle jeta un coup d'œil à l'horloge, il indiquait six heures et demi passer. D'un sursaut Eve jura dans sa barbe et se leva, mit sa culotte, son jean, son pull et ses chaussures noirs vernis, attrapa son soutien-gorge. Pour filé, prenant son sac au passage et en claquant bien la porte réveillant Nicolas qui se rendormit aussi tôt.
*
[...]