Merci de vos com,
Vous avez aimé, cela me fait plaisir.
Quant à la longueur de l'écrit, court est un peu un but et aussi cette concision comme un gemme réduit à la partie congrue.
Oui,
tranche ou
ne tranche... Je n'avais pas vu. Dans mon esprit, ces quelques vers développent mon psycho-néologisme
Homochrone, tel le temps de l'homme ou le temps tel qu'en lui-même...
Peut-être trop guidé par la mélancolie ce jour où ces vers ont pris corps.
Et pour revenir à
tranche, certains le mettent en scène par l'automne de la vie et ils prennent l'image de l'arbre dont les feuilles reviennent à la terre pour un avenir de poussière*. PS: stop! Je me considère encore en été...
*: tel Paul Verlaine et
Chanson d'Automne,
Edit du 23: et donc, Paul Verlaine... Chanson d'automne! Rappelez-vous! Un peu d'histoire....Le débarquement du 6 juin 1944.
Poème dont je m'étais inspiré pour ré-écrire un autre poème ( celui de So pour ne pas la citer).
Ce thème est souvent décliné en écriture, notamment par Henri Salvador dans Jardin d'hiver, que presque personne n'avait compris.
Telle cette vie de passions,
Déclinée en quatre saisons.
Automne....
Envie,
Souvenir d’un printemps enchanté,
Où les cœurs savaient bien s’envoler.
Rappel d’un été ensoleillé,
Moissons engrangées en ce passé.
Aujourd’hui ce son monotone,
Qui blesse mon corps et résonne,
Par ces pensées et refus divers,
Repoussant la peine d’un revers.
En vie!
9 janvier 2008, modifié le 14,
Automne, En vie (Intemporels)