Premier essai à vous de me juger:
Te revoir en aoûtJe veux pouvoir te revoir en août
Et à nouveau nous allonger au bord de la route
Le nez dans cette campagne, ces champs, ces prairies
Qu’autant, si ce n’est plus, que moi tu chéris
Le rire au bout des doigts, des fleurs plein la tête
Et rester jusqu’à ce que la pluie vienne éteindre ta cigarette.
Tu l’aimes, me dis-tu
Mais j’ai compris lorsque tu t’es tu
Que cette fille avait tué ta fraîcheur
Contre toi je sens désormais
son odeur…
Oui cela me rend triste pour toi,
Mon ami, mon amour, de voir que tes choix
Te font pleurer au crépuscule
Dans mes bras. O mon pauvre incrédule !
Je connais cette fille bien plus que tu ne le crois
Et pour l’avoir rencontré de nombreuses fois
Je sais qu’elle est intéressée.
Ta beauté si naïve ne la fait pas rêver,
C’est dans ton portefeuille qu’elle veut dormir
Elle se fiche éperdument de tes beaux yeux et de ton sourire !